Pourquoi certains médecins intérimaires refusent la loi Rist ?
Depuis son entrée en vigueur, la loi Rist divise. Si elle vise à encadrer l’intérim médical, de nombreux médecins expriment leur désaccord. Voici pourquoi.
❌ 1. Une rémunération perçue comme injuste
Le plafond de 1 170 € brut pour 24h est considéré comme déconnecté des responsabilités des missions.
“On nous demande de gérer des urgences vitales pour 48 € brut de l’heure. C’est le tarif d’un consultant junior dans le privé.” — témoignage d’un médecin urgentiste
🏥 2. Moins d’attractivité pour les zones en tension
- Les hôpitaux en difficulté voient les missions rester vacantes.
- Des médecins préfèrent le secteur privé ou libéral, aggravant les déserts médicaux.
🔄 3. Une rigidité qui freine la réactivité
- Avant : tarif ajustable pour combler une garde urgente.
- Maintenant : dépassement interdit, sauf validation par l’ARS → processus lent.
🤝 4. Une loi perçue comme imposée
- Peu de concertation avec les syndicats
- Sentiment de punition collective, loin du terrain
🧠 Conclusion
La loi Rist cherche à réguler, mais elle fragilise un peu plus le lien entre hôpital public et médecins intérimaires.
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